Les français se montrent peu enthousiastes à l’idée de passer un séjour dans un lieu de vacances nudiste, même si cela leur permettait de dépenser moins.
Voici l’une des révélations d’une enquête récente sur les habitudes des français qui partent en vacances.
Les français moins « débridés » que les anglais concernant les vacances naturistes
Sortie en mai, une enquête menée auprès d’un panel de 320 personnes représentatif de la population Française dévoile quelques habitudes étonnantes des français qui partent en vacances. Parmi les réponses surprenantes on découvre ainsi que les français seraient moins enclins à accepter de passer un séjour dans un camp naturiste que nos voisins anglais, et ce même si cette option leur permettait de dépenser moins pour leurs vacances.
En effet, interrogés sur la même question près d’un quart des britanniques accepteraient de se rendre dans une station nudiste alors que les français ne sont que 16% à répondre positivement. Contrairement aux idées reçues les français seraient-ils donc plus coincés que les anglais ?
Les français sont inattentifs au moment de préparer leurs bagages
Selon cette enquête, 65% des personnes interrogées ont oublié quelques choses en préparant leurs bagages. Les papiers d’identité (7%), les médicaments (28%), le téléphone portable (7%), les vêtements chauds (16%) sont parmi les articles importants que l’on oublie fréquemment. Des oublis qui grèvent le budget vacances dès le début puisque 73% des personnes interrogées déclarent remplacer ces produits, une fois arrivées. Cette dépense peut représenter un budget supérieur à 50? pour 14% d’entre elles.
C’est l’une des faits intéressants relevés par cette enquête commandée par le voyagiste Ebookers. Ce dernier souhaitait en effet mieux connaître les habitudes des français au moment de leur départ en vacances pour leur proposer des outils d’aide à la préparation de son séjour plus efficaces. « Nous savons tous combien des vacances à l’étranger peuvent être chères pour une famille.
Pourtant nous dépensons inutilement pour remplacer ce que nous avons oublié. Cette prise de conscience nous a permis de réfléchir au moyen de mieux informer nos clients avant leur départ en leur suggérant de créer une check liste des choses à emmener, de vérifier que le plus important était bien dans leur bagage à main : passeports, argent, chargeur de téléphone? »
Au travers de son blog voyage, Ebookers mettra donc à disposition des vacanciers des conseils, des informations pratiques, des alertes qui leur permettront d’être des touristes plus avisés.
Londres parmi les destinations favorites des français
Sur les séjours effectués au cours des 12 derniers mois, 97% des français ont choisi une destination en France et 90% dans un pays en Europe. Seuls 39% ont préféré une destination hors de l’Europe. Les capitales européennes ont particulièrement le vent en poupe à l’instar de Londres qui se révèle être une ville particulièrement prisée des vacanciers français.
66% y ont déjà fait un séjour récemment. Choisie pour sa proximité et les facilités d’accès pour s’y rendre (critères essentiels pour 50% des français), la capitale anglaise est également une ville où il se passe toujours quelques chose comme le montre les 68% de répondants qui déclarent « qu’il y a tant de choses à voir » à Londres. C’est ensuite dans l’ordre le shopping (56%), les musées et les galeries d’art (50%) et la variété des restaurants (21%) que plébiscitent les français.
Les français économes
Avant même d’avoir décollé, les français « brident » leurs dépenses. Interrogés sur leurs achats dans les boutiques Duty free, 22% affirment n’avoir rien acheté dans les boutiques de l’aéroport et ils ne sont que 19 % à y dépenser 50? ou plus.
En ce qui concerne le budget vacance à proprement parler, il est lui aussi plutôt serré. 18% seulement des répondants déclarent dépenser plus de 500? quand près de la moitié y consacre moins de 300? et 4% moins de 100?. Une réalité à mettre en rapport avec le budget qui est pour certains consacré à remplacer les objets indispensables oubliés : plus de 30? pour 42% des vacanciers !
Retrouvez tous les résultats de cette enquête sur le blog de Ebookers.
Oui, les Français sont parmi les plus pudibonds en Europe, il n’y a que l’Italie ou la Pologne (ou Malte mais c’est tout petit) pour être plus pudibonds que nous.
En Espagne, les seins nus sont généralisés, la nudité y est très fréquente.
En Allemagne, en Autriche, aux Pays-Bas, et plus encore au Danemark, la nudité est chose banale. Au Danemark, il n’y a que deux plages où il soit interdit d’être nu(e).
En France, en étant en short dans le bus ou à la terrasse d’un café, ou en étant en jupe dans le tram, on risque de se faire agresser et traiter de salope.
Pour les 16ù des Français prêts au naturisme: en toute logique, il devrait donc y avoir 16% des plages, des campings, des hôtels, des centres de vacances, 16% des bords de lac ou de rivière, qui permettent de tomber le maillot: on en est loin, très loin!
Et c’est d’ailleurs pour ça que beaucoup de Français vont en Espagne ou en Croatie: la nudité n’y est pas illégale, et en quelques minutes à pieds on trouve des endroits où l’on pourra tomber le maillot.
En France, il faut souvent faire des Km pour trouver de tels endroits, qui en plus sont souvent pollués par les mateurs ou les exhibitionnistes, et quand on se trouve un coin isolé, on est aussi à la merci de ces gens-là (surtout si l’on est une femme seule).
Quelques commentaires sur les autres paragraphes de l’article: si beaucoup vont à Londres, c’est parce que c’est facile d’accès, que l’anglais est à peu près la seule langue étrangère que bredouillent les Français, et que c’est dépaysant.
Pour les boutiques Duty Free: on économise les taxes, certes, mais on paye deux fois plus cher que si on achète ce produit dans un commerce de rue ou un supermarché. Attrape-gogo, donc, sur la plupart des produits (seuls quelques-uns vous permettent de réaliser une économie).
Quant aux objets oubliés: dans certains cas, à partir du moment où on les utilisera après son retour, il peut être intéressant de ne pas s’encombrer et de les acheter sur place.
Par exemple, je ne pars en Espagne qu’avec une seule paire de chaussures ou sandales, mais reviens avec deux ou trois (par exemple deux, si je laisse là-bas à la poubelle celles qui étaient « en fin de carrière »).
Oui, les Français sont parmi les plus pudibonds en Europe, il n’y a que l’Italie ou la Pologne (ou Malte mais c’est tout petit) pour être plus pudibonds que nous.
En Espagne, les seins nus sont généralisés, la nudité y est très fréquente.
En Allemagne, en Autriche, aux Pays-Bas, et plus encore au Danemark, la nudité est chose banale. Au Danemark, il n’y a que deux plages où il soit interdit d’être nu(e).
En France, en étant en short dans le bus ou à la terrasse d’un café, ou en étant en jupe dans le tram, on risque de se faire agresser et traiter de salope.
Pour les 16ù des Français prêts au naturisme: en toute logique, il devrait donc y avoir 16% des plages, des campings, des hôtels, des centres de vacances, 16% des bords de lac ou de rivière, qui permettent de tomber le maillot: on en est loin, très loin!
Et c’est d’ailleurs pour ça que beaucoup de Français vont en Espagne ou en Croatie: la nudité n’y est pas illégale, et en quelques minutes à pieds on trouve des endroits où l’on pourra tomber le maillot.
En France, il faut souvent faire des Km pour trouver de tels endroits, qui en plus sont souvent pollués par les mateurs ou les exhibitionnistes, et quand on se trouve un coin isolé, on est aussi à la merci de ces gens-là (surtout si l’on est une femme seule).
Quelques commentaires sur les autres paragraphes de l’article: si beaucoup vont à Londres, c’est parce que c’est facile d’accès, que l’anglais est à peu près la seule langue étrangère que bredouillent les Français, et que c’est dépaysant.
Pour les boutiques Duty Free: on économise les taxes, certes, mais on paye deux fois plus cher que si on achète ce produit dans un commerce de rue ou un supermarché. Attrape-gogo, donc, sur la plupart des produits (seuls quelques-uns vous permettent de réaliser une économie).
Quant aux objets oubliés: dans certains cas, à partir du moment où on les utilisera après son retour, il peut être intéressant de ne pas s’encombrer et de les acheter sur place.
Par exemple, je ne pars en Espagne qu’avec une seule paire de chaussures ou sandales, mais reviens avec deux ou trois (par exemple deux, si je laisse là-bas à la poubelle celles qui étaient « en fin de carrière »).